Nous allons faire un voyage imaginaire à travers un outil développé par le G de GAFAM. Un G géant, au désir de mainmise sur le globe.
Un outil nourri par ses utilisateurices globe-trottereuses affamé-e-s, et que j’ai détourné à ma sauce pour vous écrire.
Je ne peux m’empêcher de rester fascinée par les potentialités créatives et les portes fictionnelles que ce travail d’enregistrement visuel du territoire, et surtout le territoire touristique, ouvre. Des yeux partout. Cela rejoint probablement un fantasme de comprendre le monde à la fois dans sa globalité et ses détails.
Ce sont des paysages sur lesquels l’humain a écrit que nous allons observer. Des paysages dans lesquels on a fait de grands traits, posé des tâches à la règle. Je souhaite ici faire un parallèle entre écriture du paysage et structure du récit. Comment l’auteurice construit/designe son récit? Dans quelle position iel place ses lecteurices?
Commençons par parler des formes de livres et de la forme des histoires qui sont dedans.